La naissance d'un Média omni-inclusif neuf, un "ordinature" cinéma-théâtre, d'évolutions relationnelles á travers les vécus et le jeu, dont les publics sont acteurs, héros, auteurs, compositeurs et metteur en scène. Des outils collectifs analogiques et mécaniques, libres "indépendants-interdépendants". Omni-interface, tremplin et moteur, "fruit-centre et source" de polyvalences et adaptabilités universelle. Des outils collectifs au service d'un voyage dont chacun est seule et unique centre, de changements en autonomie, à travers les vécus et le jeu.

Véhicules d'émancipation d'une direction paradoxale et suicidaire. Ouvrant des décroissances universelles, á l'intérieur de uniquement des expansions, évolutions et croissances omnidirectionnelles et dimensionnelles simultanées, illimitées. Sans: paradoxes, divisions, sacrifices, pertes, frictions, destructions, concessions, compromis, inconsciences et guerres de survie, mécaniques de contrôle et d'urgence, dépendances-codépendances, fatalités, impossibles, contraintes et limites.

Pour l'intégralité des réalités.

Passagers du déterminisme systémique de (→ la réalité - la dualité - la guerre - 1D ), c'est impossible.

Á partir de (→ La réalité des réalités ), c'est inévitable. Á la seconde du changement de conditions initiales, de "véhicule-cerveau universel", de systèmes référentiels et de déterminisme systémique.

Le fond qui produit les formes, les perceptions qui créent les réalités:

Compilation de quelques pages de cahiers de notes, idées, explorations et croquis, pour différents projets.

Inversion fondamentale:

4'33'' de John Cage: Attirait l'attention des publics á des réalités ou "tout est musique". Invitant les consommateurs de plats mono-sensoriels dans une relation frontale, à devenir musiciens et compositeurs en continu, dans leur vie ?

Lors de la première, John Cage note les musiques de la pluie sur le toit de la salle, les sons des publics et de ceux qui sortent furieux en hurlant... Les êtres humains ne sont pas de grandes oreilles avec des pattes, la convention sociale est rompue et le public qui n'est pas prévenu, est trahi. Tous les sens ont perdu la focale, dans une situation qui n'a rien de naturel. Lors de la seconde présentation, la convention est rétablie et tous peuvent venir vivre et/ou consommer, une œuvre icône du génie "John Cage".

Ouvrant les questions: Comment garder et amplifier la trahison et le contournement, de tous les filtres des informations perçues par nos sens ? En perdant les violences, les paradoxes, les cloisonnements et l'étape d'assimilation ?

Les Monochromes de Robert Rauschenberg, exposait la même inversion fondamentale dans les arts visuels. Comme tant d'autres ils étaient influencés par le moine bouddhiste qui médite et tend vers le minimum d'interaction possible. Identifiant que c'est l'extrême opposé d'un voyage vers "rien", vers un "degré zéro"

→ Croissances et décroissances simultanées, illimitées.

Dans les sciences:

L'inversion était le passage á des réalités d'abord interconnectées, qui devenait une référence dans les années 60-70. Donnant naissance dans les années 90 á un premier ensemble de "seule et unique plus grande découverte et évolution de tous les temps, passés et á venir" (→ Conscience _evolplay.net_evolplay.com ).

L’inversion fondamentale, ouvrant un pas de recul, une dimension universelle en plus que (→ La réalité  1D – Toutes les gouttes forment l’océan, 1 réalité divisée ou indivisible ) plate et unidimensionnelle, de référence. La dimension en plus inversant des réalités au final en une seule dimension, en réalités d’abord omni-dimensionnelles « pas de centre et que des centres »: (→ La réalité des réalités ) "Chaque goutte est l'océan entier".

Les découvertes et évolutions des sciences (dans le sens le plus large de la démarche « Atteindre »), ont rejoint la perception source qui unifie tous les « guides macroscopiques » comme les Bouddhas, Jésus, Rûmi et tous autres: « Uniques et interchangeables » de par leur perception source de réalités "divisibles, divisées et indivisibles".

Une convergence universelle a eu lieu dans les années 90, selon les perspectives mais la « fin-début » des évolutions à l’échelle macroscopique et du voyage entier : Est devenu « un passé ».

L'humanité n'est plus seulement "en retard" sur elle-même, mais au terme d’un omni Big Crunch et suicide exponentiel, pour atteindre "La" naissance et le début des évolutions (→ E á l’endroit2). Le processus paradoxal de la boucle fermée de passés, acculant au chantage "Mourir ou Naitre" á l'échelle macroscopique. Passer le "Mur" des réalités et du temps, devenant autant une question de survie que de vie.

   "Moi = 1" et "Moi = Tout et 1": L'ensemble et toutes les parties de l'ensemble que tout "est", avant d'en "faire partie" ?!

                              Toutes les gouttes forment l'océan ou Chaque goutte est l'océan entier ?

    La réalité : 1 océan, 1 réalité, 1 univers, 1 seul ensemble - omni-dimensionnel "pas de centre et que des centres".

Les paradoxes, "l'un ou l'autre, "il ne peut en rester qu'un" et "pas de centre et que des centres" au final plat et 1D = Il ne peut en rester qu'un. Les omni-sacrifices de "tout sauf 1" "tout dont 1", n'existent et ne sont inévitables que dans
(→ La réalité ).

Le "véhicule-cerveau", crée les réalités dans ses contraintes et limites:

> Déterminisme systémique "Atteindre" (→ La réalité ) 1D.

Dictature 1D: Un cerveau composé de une ou plusieurs cellules, coordonne des hiérarchies et arborescences de cerveaux spécialisés, pour coordonner un ensemble. Projection "cerveau, squelette, muscles, organes, systèmes circulatoires..."

Démocraties 1D: La même chose, mais les parties de l'ensemble "choisissent ?" les cerveaux qui les coordonnent.

La Démocratie - La vie coordonne la vie: Chaque partie de l'ensemble que tout "est", est d'abord seule et unique "cerveau". Seule et unique auteure et centre de coordination de tout ce qui existe et n'existe pas, de tout ce qui a lieu et n'a pas lieu. Sans limites d'échelles, espaces, temps, domaines, directions et dimensions, connues et inconnues.

Sur le principe, c'est l'ostéopathe qui travaille sur l'ensemble et toutes les parties de l'ensemble que tout "est". En travaillant sur un ensemble, qui a des problèmes locaux, isolés, comme un dos douloureux ? Des actions de coordination systémique visant des récessions simultanées de tous les problèmes, avant qu'ils n'aient l'option de rêver pouvoir faire surface. Et des expansions, évolutions et croissances simultanées, de toutes les parties de "soi-même".

Bouddha posait une action de coordination absolue de "lui-même", dont les expansions exponentielles ont eu lieu et n'ont pas encore pu commencer. En rendant á tous les clefs pour pouvoir faire de même, en autonomie. Pour tout ouvrir, optimiser, guérir, inventer, résoudre et tout mettre en expansions relationnelles simultanées, illimitées.

La démarche est inversée, la priorité est que chaque partie de "soi-même", soit exponentiellement seule et unique centre de coordination universelle.

Si toutes les parties de l'ensemble, ne font que "donner" simultanément á toutes les parties de l'ensemble. Toutes les parties de l'ensemble et l'ensemble que tout "est", ne font que "recevoir" simultanément de toutes directions. La Démocratie est toujours "la réalité des réalités", la seule chose qui peut changer et évoluer est "comment" les réalités sont en phase avec elles-mêmes.

Low Tech:

Les consciences, outils, technologies, manières de penser et fonctionner, mécaniques de coordination et solutions "chaque goutte est l'océan entier". Sont entières depuis plusieurs dizaines de milliers d'années, elles sont omniprésentes et en évolution depuis plusieurs milliers d'années. Depuis les deux guerres mondiales, elles cherchent l'unification, leur source et sont en expansions de diversifications-évolutions, dans tous les domaines: Plus et moins en phase avec (→ La réalité des réalités ) ou inversées...

"Tout" étant plus que jamais, á l'intérieur de et au service de (→ La réalité - la dualité - la guerre - 1D ).

(→ La réalité des réalités ) et La Démocratie, est toujours "la réalité". La seule chose qui peut changer et évoluer est "comment", les réalités sont en phase avec elles-mêmes (→ La vie "est et devient").

  Chaque chose qui a lieu et n'a pas lieu est plus essentielle que jamais Et il n'existe solution á rien, á l'intérieur du problème.

                             SEAWIND FLOWER FISH - CACHE A L'EAU - BALAPLUIE - BALAPLAY - KLANKEN ISLE...

Nouvelles Technologies :

Dans le cadre de mes études artistiques en Irlande, mon projet de vie s’était trouvé. Créer un média omni-inclusif, une formule et synthèse universelle, sans être limité aux passés et aux futurs des passés. Plus que le penser ou chercher á formuler ce qui se cherchait, des embryons naissaient. Il y avait une entièreté et les implications des évolutions de découvertes et connaissances. Me laissaient entrevoir que plus rien, n’était dans “une étape de plus des évolutions”. Ce projet holistique était entré dans le cadre des possibles, mes vies seraient dédiées á ses naissances et premiers pas.

SEAWIND FLOWER FISH

Étudiant au Dun Laoghaire Institute of Art - Design and Technology, je travaillais avec ma meilleure amie pendant un an pour un concours réservé aux universités artistiques. Qui visait la création de parcours d'installations artistiques permanentes, pour dynamiser le port de Dun Laoghaire et une des jetées, qui est un lieu privilégié de ballade des Dubliners.

Sur la vingtaine de projets que l'on développait, je rêvais une sculpture musicale au cœur du projet: Un poisson ovoïde stylisé creux, simple d’aspect extérieur et plus complexe á l’intérieur. Qui en étant actionné par les vents et en collectant l’eau de pluies, produirait des compositions évolutives de sons d’ocarina géante et de percussions aquatiques. Tout en étant une sculpture á jouer et cherchant á ce qu'elle ait le maximum de potentiels pour être appropriée, devenir une icône et une effigie du port, de la ville, de l'Irlande ? (→ SeaWind Flower Fish)

Mes expériences et prototypes ne fonctionnaient pas, il ne suffisait pas de transposer ce qui me semblait être le principe des flûtes par exemple. C'est ce qui m'a immergé dans l'étude et l'exploration des "procédés sonores", afin de pouvoir tout mettre en relations vibratoires.

On a remporté le concours au-delà de toute espérance, sur 19 projets retenus, 13 étaient de ceux que l'on avait rêvés et développés. Il y a eu une exposition publique pendant que j'étais retourné en Belgique pour faire mon service d'objecteur de conscience. Le pouvoir politique á changé et le projet était tout simplement annulé. De maître d’œuvre d'un projet d'architecture publique pérenne, d'un lieu phare d'une capitale Européenne, le retour en Irlande se fermait. Ouvrant d'autres voies et j'avais trouvé mon projet de vie, dans ce projet qui faisait partie de ceux qui n'avaient pas été retenus.

CACHE Á L'EAU :

Après une douzaine d'années de recherches, expérimentations, parcours et détours, je travaillais á la réalisation d'un bateau rond musical, pour la première édition du festival City Sonics.

Inspirée d'un article á propos des cachalots s´échouant sur les plages, á cause des évolutions de pollutions sonores permanentes dans les océans. Des scientifiques qui cherchaient des solutions étudiaient leurs langages et des griots Africains en entendant des enregistrements, avaient offert une clef de lecture en faisant le lien avec les percussions et la musique: " Ah, ceux-la sont de petits jeunes qui produisent énormément et celui-la c'est un vieux sage, qui coordonne tout et donne l'âme, en ne faisant presque rien".

En se déplaçant sur l´installation, un réservoir d'eau pousse l'air vers les flûtes et les actionnent. Dans le plancher en camembert, se déplacent des billes produisant des percussions "plus et moins" aléatoires, en relation aux mouvements des joueurs-compositeurs. Par rapport au proportions du dessin, la coque ferait +- 2m de diamètre. J'avais bricolé un four pour courber le bois á la vapeur et je réalisais une coque de plus de 3m de diamètre.

"Soufflet Géant" construit en 2002 pour la Zineke Parade de Bruxelles, que j'ai transformé en installation á jouer. Devait être exposé dans le hall de l'auberge de jeunesse de Mons et Cache á l'Eau, en extérieur dans le jardin de la mairie. Les ratés réussis: Le soufflet construit á l'origine par le centre Reine Fabiola pour projeter des plumes, était détourné pour actionner des instruments á anche. Il y avait une production importante d'air, sans approcher de la pression pour actionner des anches, pour des accords de flûtes c'était idéal et deux vannes permettaient de modifier l'accord.

BALAPLUIE :

En dernière minute, j’apprenais que les assurances du festival refusaient l'exposition de Cache á l'Eau, par crainte de vandalisme ? Pour éviter qu'il n'y ait que "Soufflet Géant" exposé, j'ai réalisé "Balapluie" en quelques jours. Une simple balance, un bâton de pluie de 4,50m divisé en trois canaux: Un labyrinthe de clous de différentes tailles, plantés pour ralentir la descente des billes ou chaque clou est une note. La pluie micro-tonale durait +- 1 minute , en plus de ce canal principal il y avait un canal droit et brutal avec des balles de pétanque en métal et un canal de descente en slalom, de billes-carillon (J'ai collectionné des trésors de billes et boules :-)

La plus simple des installations, mais pendant le mois d'exposition les publics et passants n’arrêtaient pas de jouer. J'étais impressionné par les ballets relationnels et les qualités d'appropriations. Balapluie devenait aussi un meuble public, pour s’asseoir, se coucher, jouer, pour un pic-nic. Des adultes attendant parfois et vérifiant qu'il n'y avait personne, avant d'essayer et puis oublier qu'ils pourraient être "pris en flagrant délit de jouer" ? Potentiellement tout était entier, c'était un Eurêka.

La dimension "fixe et mobile", ainsi que le mouvement linéaire et binaire de la balance, était beaucoup plus riche que l'installation circulaire et sphérique. Le plus simple des objet et des mécanismes, était la base la plus ouverte. Elle permettait d'avoir un contrôle précis, des billes agissant comme des doigts qui peuvent déclencher des processus et évènements.

C'est une fascination de beaucoup d'artistes et chercheurs. Dont Pierre Andrés qui avait créé et rassemblé des mécanismes avec des billes et pour les guider. Réalisant des installations poétiques en bois, parfois petites comme "la tour du temps" ou plus monumentales. On retrouve dans de nombreux films des descentes de billes et d'un événement qui produit une réaction en chaîne, dont le générique du film "Le Mistere de la chambre jaune". (→ Chaos - Constructale - Systémiques)

Au service du décloisonnement et de l'émancipation du contrôle, du linéaire, du mono "directionnel - dimensionnel et fonctionnel". Le rejeter entièrement au profit de l'aléatoire, vivant, fragile, imprévisible, omnidirectionnel et dimensionnel: Était une erreur.

Le plus ouvert sont les expansions relationnelles et un chaos organisé. La base contrôlable, ouvrait le spectre entier: Le contrôle au service de toutes amplitudes de mouvements plus aléatoires-libres et relationnels avec les joueurs. Pour produire des jeux collectifs vivants, qui sont toujours uniques, qui changent et peuvent être des véhicules de toutes amplitudes de transformations.

L'un et l'autre et l'autre et l'autre...

BALAPLAY :

3 balances forment un espace ou les relations entre les joueurs et l'installation, crée des géométries et mouvements complexes dans l'espace. En travaillant sur les relations entre 3 installations distinctes qui en forment une seule, l'installation circulaire atteignait une maturité de potentiels ouverts.

L'infini: Entre deux notes il y a des infinités de notes, des infinis "plus ?" étendus entre deux octaves... Dans une seule dimension. Les fractales exposait des structures entières et des infinis égaux á toutes échelles. Dans un mouvement 1D du bas vers le haut ou du haut vers le bas ? Plus les consciences que tout est "infini" évoluent, plus la richesse sont les infinis libres de tous couloirs: Des infinis omnidirectionnels et dimensionnels, ouverts.

Les potentiels d'évolutions de complexités des canaux, étaient illimités. Le bras de levier et la gravité offraient de puissantes forces, en relation directe avec le poids et les mouvements des joueurs-compositeurs. Il pouvait y avoir des systèmes utilisant des liquides, d'air sous pression, des diffusions olfactives, tous systèmes mécaniques...

La balance n'a que deux positions, qui avec des étages, des retenues progressives de billes et parcours internes. Pouvait produire pour chaque "balance-balasons" des cycles cours et longs: Un cycle de 3 déclenchements, un de 6 et de 8, croisés et produisant un cycle entier de 26 déclenchements pour une balance par exemple. Le cycle de 26 basculements pour que tout revienne á la position initiale, est déstabilisé et dépend des appropriations des joueurs. Tout étant chaque fois unique, dans un canevas d'identités du balason.

Qui avec les 3 balasons, se croisent pour produire des évolutions relationnelles et un ensemble ou "reproduire" est impossible, tout en restant dans des architectures identitaires relationnelles á chaque échelle. Je pouvais lester un Balason, pour qu'il revienne de lui même dans sa position initiale ou pas, ou par cycle long avec un lestage en déplacement progressif. En se transformant dans les jeux, les trois installations pouvaient inciter les joueurs á changer de direction. Un ensemble de jeux et d'accès, imposent d'être deux ou plusieurs. Ou de développer des gymnastiques complexes et de recomposer une visions d'ensemble, dans le temps.

Cinéma-Légo-Minecraft:

Une base ou il n'y avait pas de limites aux évolutions de complexités des canaux, indépendants et/ou interconnectés, sur plusieurs étages, en plus de toutes les formes de changements résultant des jeux. Avec des potentiels de programmation des installations par les joueurs-compositeurs, une manette baissée et tous les circuits intérieurs changent. Les balances pouvaient aussi devenir un "cinéma": Une boite rectangulaire, réceptacle de canaux et séries de canaux produits par des artistes, des populations, des écoles...

Un "ordinature" qui peut recevoir des infinités de formes de programmes, á jouer et á composer les uns en relations avec d'autres. Des installations fixes dans plusieurs villes et environnements, ouvrant les créativités, les reliefs identitaires, les échanges de canaux internes, plus abstraits ou créés sur base de thématiques... Les proportions optimales de la balance universelle, se confirmaient dès la première exposition.

Un "Cinéma" relationnel poly-sensoriel á vivre, ou il n'y a plus de scission entre producteur et consommateur, pas de début et de fin prédéfinie, ou chacun est seul centre d'une expérience relationnelle unique. Ou tout est "chaque goutte est l'océan entier", omni-dimentionnel "pas de centre et que des centres". Sans dépendance directe á l'électricité et aux technologies numériques, la balance restant un "moteur universel" qui peut être détourné pour actionner tout et n'importe quoi. Passage de réalités "dépendantes-codépendantes: 1D", á des réalités "indépendantes-interdépendantes: Omni D".

Omni obsolescence programmée:

Une interface universelle et une technologie, qui ne produit pas de dépendance exponentielle á elle-même, qui se transforme en adaptation aux futurs inconnus et qui est conçue sur base d'une "omni-obsolescence programmée". La fonction première d'une solution est de ne plus en avoir besoin: Résoudre une chose á la fois produit un mythe de Sisyphe dans un Big Crunch d'omni-compressions en 1. Il n'est possible que de tout ouvrir et résoudre: Simultanément.

Une solution "parfaite" accélère le voyage vers les passés, de réalités ou il ne faut plus aucune solution pour résoudre quoi qu ce soit. Á l'opposé d'un voyage vers "rien", c'est la naissance du "choix" et de "tout", perdre l'intégralité des "dépendances" au problèmes et solutions ( → Croissances et décroissances omnidirectionnelles et dimensionnelles simultanées, illimitées).

La première version du Balason "Terre"

Première exposition au festival City Sonics juin-juillet 2004.

Une version á peine plus complexe que des bâtons de pluie géants, mais les premiers ordinateurs faisaient la taille d'un bâtiment, pour réaliser en une semaine les calculs qu'un enfant fait en quelques minutes avec un boulier compteur. En étant le fruit des guerres, de ressources et investissements collectifs massifs dans une direction paradoxale unique. Plutôt que le travail d'un artiste chômeur isolé et sans moyens ?

Depuis les ordinateurs sont des millions ou milliards de fois plus puissants, omni-polyvalents, et tiennent dans une poche. Des décroissances exponentielles, á l'intérieur de uniquement des expansions, évolutions et croissances exponentielles, omnidirectionnelles et dimensionnelles, simultanées et illimitées. N'est en rien une fiction.

Mais les technologies et réalités "Atteindre" de (→ la réalité - la dualité - 1D), cultivent simultanément toutes les morts macroscopiques possibles de la Terre et la vie terrestre, dont l'humanité (→ Le voyage de la vie vers elle-même. Le sens de la vie.) 

→ Mourir - Naître ← Mourir - Naître

Avant d’être atteint par le changement et des expansions: La communication est impossible dans le sens ou elle est paradoxale. Tout est assimilé, inversé, comprimé et mit au service de ce que (→ La réalité) permet que soient les réalités. Protéger et défendre ce qui nous enferme, nous contraint et nous limite, est paradoxalement une question de survie.

Après avoir été atteint par le changement: La communication “est” et elle peut être utile, mais n’est plus nécessaire. Tout est en expansions dans la nouvelle “géographie" des réalités (→ Toutes les gouttes forment l'océan ou Chaque goutte est l’océan entier ? Le choix).

*Résoudre une chose á la fois: Produit un mythe de Sisyphe dans un Big Crunch, une spirale infernale omni-sacrificielle, en véhicule par défaut pour s’en émanciper. Le changement de conditions initiales, de “véhicule universel”, de systèmes référentiels et de déterminisme systémique: Résout et ouvre tout "simultanément".

Le gouffre illimité entre ce que (→ La réalité ) impose et ce dont nous avons besoin pour s'en émanciper ?

Un mois avant l'ouverture de l'exposition j'avais enfin l'argent pour acheter les matériaux et commencer á construire, j'ai dormi de moins en moins jusqu’à finir par trois nuits blanches. Je dormais entre le moment ou je pose l'embout de visseuse sur la vis et le moment ou elle est vissée :-).

C'est un des souvenirs les plus merveilleux de ma vie, baigné dans la musique sous un toit de hangar, dans un champ en bordure d'un bois. En juin, vivant les coucher et lever de soleil de jours quasiment sans nuits. Pendant lesquelles les rats criaient en tournant autour de l'installation, furieux d'avoir un voisin irrespectueux de leur sommeil. Thé et jus de pomme était apparemment le plus efficace pour ne plus dormir, en vivant la réalisation du premier embryon d'un rêve.

Terminant 2 heures avant l'arrivée du camion, plutôt que risquer une sieste j'ai pris un bain et me suis relaxé. Quand le camion est arrivé on a chargé et sur place j'ai mit une couche de protection pour le bois. Ensuite je préparais l'installation, réglais les niveaux et finissait de poser les planchers, quelques minutes avant l'ouverture officielle et l'arrivée des premiers publics :-)

Pour une réalisation seul avec les moyens et le temps que j'avais, c'était limité et plutôt miraculeux comme résultat.

Féron Arts.

Je vivais Balaplay comme un média neuf et le premier pas d'une interface relationnelle universelle et auto-évolutive: Ou il n'y a plus de séparation entre producteur et consommateur. Émancipation de la relation frontale-linéaire, les publics présents et absents, qu'ils jouent ou regardent, créent une pièce de théâtre unique, vivante et permanente dans des espaces "poumon".

Favoriser les expansions de perceptions de réalités interconnectées et multidimensionnelles, les complexités illimitées étant dans les simplicités, l'approche, les sources de conception et l'installation en interface plus qu'en elle-même. Pas de règles, pas de point de départ, de début ou de fin, de l'art évolutif sur lequel on marche, abstrait-structurel et poli-sensoriel. Si les appropriations sont uniformisées, l'architecte-luthier s'est trompé.

Impossible de "mentir" á nos sens, alors que tous les médias audio-visuels sont des fictions, des parties choisies d'informations, déplacées dans l'espace et le temps ? Pour avoir un seul ordinateur, toutes l'humanité et les ressources planétaires sont monopolisés ? Des investissements astronomiques dans l'audio-visuel á consommer et des expansions de dépendances ?

Un cinéma poly-sensoriel ludique, plus structurel et abstrait, á vivre et sans dépendances... Un extrême opposé d'une direction par défaut, faisait sens. Ne fusse que pour des expansions relationnelles mutuelles et ouvrir les perspectives. Exposant rapidement que cette direction "oubliée - combattue et battue" de passés-dépassés, n'est pas seulement "égale et différente": (→ La réalité ) est incluse et "1" de l'infini exposant ∞∞∞... De (→ La réalité des réalités ), les priorités de l'humanité sont littéralement "á l'envers" ?

Énergie - Moteur:

Pas d'électricité et les technologies numériques sont omniprésentes dans les évolutions conceptuelles, relationnelles, de langages et approches, en évitant leur présence matérielle. Éviter les dépendances, favoriser les niveaux de polyvalence, adaptabilité et les dimensions autant relationnelles qu'autarciques.

Réduction ou absence d'électricité, panne ou respect des "énergies fossiles ?" et de tout ce qui est non-renouvelable ? La balance est aussi un "moteur", qui peut être détourné au service de multitudes de rôles utilitaires, sans rien perdre des qualités de l'installation á jouer. Tentant aussi d'éveiller a des réalités dans lesquelles au delà de la survie, les priorités sont inversées.

Il y a aussi un lien direct avec mes parcours scolaires, ou je rêvais d'outils éducatifs libres: Au service des épanouissements de toutes formes de différences, potentiels, capacités et richesses, dont chaque réalité est seule et unique centre. Unifiant au passage les traditions de mécaniques de jardins en Europe et sur Terre, tout en étant en phase avec l'inversion de la théorie du Chaos, les Fractales, la théorie Constructale, la physique quantique, les changement fondamentaux dans les arts et dans tous les domaines.

KLANKEN ISLAND:

Entre temps, après la publication du livre "Chercheurs de sons" en 2004, ou il y avait quelques pages dédiées surtout á Balaplay. L’association Musica m'avait commandé un projet d'une version pérenne, pour le Klankenbos de Neerpelt. C'était la finalité d'embryons créés pour des expositions temporaires: Une installation de base "fixe" ou tout est mobile. Sédentaire devenu nomade, l'installation "sédentaire et nomade" unifie les qualités et richesses de l'un et l’autre, en ouvrant des expansions relationnelles.

Une approche apparentée et qui tente d'unifier celle du cinéma, de l'ordinateur, du théâtre et de la salle de spectacle polyvalente, dans une voie qui permet de sortir des limites d'évolutions de la direction dont ils sont promoteurs et fruits.

"L’électricité n'est pas née de l'évolution des bougies !" (Niels Bohr). Rassembler tous les arts et "Tout" pour créer un art total: Serait un peu comme de rassembler les ingrédients d'un être humain et ajouter de l'électricité, ce que l'on obtient est une boue électrifiée ?

Je pouvais concevoir un projet nettement plus complexe et abouti, en ayant l’expérience d'expositions de Balaplay. Pour une installation permanente je concevais un projet avec une seule balance, qui actionne des instruments et événements dans l'espace tout autour d'elle. Avec des soufflets enterrés qui adoucissent le jeu et permettent de choisir la vitesse de descente, tout en produisant de l'air pour actionner des flûtes et des événements dans l'espace.

L'installation occupant un espace étendu, avec du mobilier public musical, c'était la création d'une île modulable, dans un esprit d'ouverture á l'environnement sans rien écraser. Intégrer et créer une île omni-interface et d'ouvertures relationnelles avec l'environnement.

"Crazy Waterclock" un projet de "Katchalka" aquatique et une vidéo de la version mécanique de Pierre Andrés. Je tentais aussi d'unifier un peu toutes technologies relationnelles, ce que les civilisations humaines ont développé. En actionnant la balance on rempli le réservoir. Le clepsydre vide progressivement le réservoir et le réglage de son débit, permet de ralentir ou augmenter le débit de billes. Mais c'est une Katchalka qui libère une bille dans les canaux, de toutes les 3 minutes á plus d'une demie heure. Laissant une mémoire du dernier passage dans une des deux positions, pendant plusieurs heures ou jours, selon le réglage du clepsydre et la réserve de billes.

Les systèmes de distribution permettant aux billes de prendre des chemins différents dans les canaux d'instruments. Les 4 premières billes peuvent faire un tiers de descente de la balance dans différents parcours, la 5 éme débloquant la descente des 5 billes. La rampe de distribution de billes peut changer d'étage de canaux, après 6 aller-retour de la balance par exemple.

Toutes les programmations sont possibles et favorise des appropriations et perceptions des complexités de l'installation dans le temps. Alimentant aussi les autonomies des populations pour "transformer-programmer" leur installation, vivante et avec laquelle ils vivent.

Je l'avait inclus comme une mémoire en plus des jeux principaux, plus immédiats. Un appel vers l'installation et aussi pour inciter á percevoir dans le temps, que chaque interaction a des conséquences et produit des changements plus et moins importants. Il y a des goutte á goutte régulier comme ceux des poches Baxter, ou d'autres dont le débit ralenti avec la baisse de niveau d'eau dans le réservoir. Permettant entre autres de jouer sur les relations, avec les clepsydres des tuyaux d'orgue aquatiques de l'installation. Une mémoire qui se manifeste de plus en plus rarement, sauf pour la balance ou le débit est régulier par exemple, ou l'inverse.

Produisant un ensemble vivant de processus plus linéaires, de courbes, contrôle, semi aléatoire et aléatoire. Relationnel avec la nature, toutes forces naturelles, une omni-sculpture relationnelle vivante á tous les étages. Inerte sans les êtres humains qui l'actionne, se l'approprie et la programme.

Une étude de système pour que les canaux internes soient réellement interchangeables. La "balance-balason-le bateau, étant une boite avec ses identités uniques, conçue pour être un support universel de canaux. Une seule balance était en anticipation d'une œuvre autonome et géodynamique. C'était aussi une manière de protéger les canaux internes, d'améliorer l'acoustique et le projet, dans toutes directions. Toujours dans l'optique d'un média plutôt qu'une œuvre, je faisais une proposition d'architecture á s'approprier et á habiter. Avec une charte et une direction, á l'opposé d'un projet figé. J'avais finalement opté pour une balance avec plus d'épaisseur pour profiter de l'amplitude entière de bascule. Ouvrant la création de canaux sur 2, 4, ou plus d'étages avec différentes tailles de billes: Créations visuelles, musicales, olfactives, relationnelles... Moteurs: aquatiques, air, gravité, vents, pluies, poids et forces des joueurs-compositeurs. Théâtre, jeu, forum, sport, danse...

Land Art - Éphémère - Perenne : Mes explorations du Land Art et de créations éphémères, trouvaient une maturité avec une installation "perenne et éphémère, fixe-mobile...". Ou à l'opposé de perdre quoi que ce soit, tout est fruit de (→ La réalité des réalités ), interface relationnelle universelle et omni, à l'opposé de tout paradoxes et sacrifices. Une perfection entière dés le début et qui se cherche, à partir d'évolutions futures illimitées. Un outil collectif "vivant", qui n'a pas de limites de portées, implications et applications universelles. Qui "est et devient". Un véhicule de (→ La réalité des réalités ) vers (→ La réalité ) vivant et à vivre, incarnant la formule universelle née après 2017.           Déterminisme systémique unidimensionnel (→ Atteindre ) - Omnidirectionnel et dimensionnel (→ Être atteint )                       Une compression en une formule, de (→ La réalité des réalités ). Comme “la flèche du temps” et une trajectoire d’évolutions exponentielles de “1” réalité, des passés vers les futurs. Le fait pour (→ La réalité ) ? La réalité est un système relationnel entre (→ La réalité ) et (→ La réalité des réalités ), pour atteindre l'entrée en phase des réalités avec elles-mêmes. (→ La réalité ) se retrouvant en omni expansions á l'intérieur de (→ La réalité des réalités ), plutôt que l'inverse qui produit "plus et moins" au final uniquement un omni Big Crunch et suicide pour "Atteindre" l'entrée en phase, l'inversion, "La" naissance. Une formulation de “comment” les réalités sont d’abord simultanées et omni-dimensionnelles “pas de centre et que des centres”. Avec le flux – “être atteint”: Toutes réalités et trajectoires isolées “1”. Á l’intérieur de et en relation avec, les évolutions structurelles et un “attracteur universel” d’auto-coordinations illimitées “Chaque goutte est l’océan entier”. Omni flux illimité et pas de flux, l'entrée en phase, un système "conscient". Incluant toutes infinités de réalités, perceptions et perspectives qui existent et n’existent pas, et leurs expansions relationnelles simultanées illimitées, á l’infini∞∞∞... (E→ á l’endroit2).  Elle est fruit d’elle-même et du processus "être atteint", qui se termine par la formulation des sources. Avec les qualités de la perception source “chaque goutte est l’océan entier”: Chaque famille de perception du temps et toutes celles uniques et vivantes, qui existent et n'existent pas. Est la seule et unique "réalité", ce qui change est "comment", plus aucune n'est sacrificielle de "tout sauf elle même - tout dont elle même". (→ Á l’endroit: Á l’envers ou á l’endroit ), les réalités sont toujours en phase avec elles-mêmes. En illustration d'une approche au delà des formes: Le Sustainable Living Festival of Australia de Melbourne, a repris le principe du Fringe festival et se pose en interface du festival de développement durable des populations. Les populations construisent leur projet et sont en relation avec d'autres et des organisations un peu partout sur Terre, toute l’année. Il y a bien une sélection pour éviter les projets paradoxaux, mais le principe en lui-même forme les populations á un festival de développement durable permanent "pas de centre et que des centres", en autonomie. Dans un festival de décroissance qui m'avait invité, je rencontrais un jeune océanographe, qui était devenu "optimiseur d'entreprises ?". L'entreprise de membres de sa famille lui avait demandé de les aider á devenir une entreprise écologique et coopératives, gérée par les employés. Le succès de son travail ouvrant d'autres sollicitations, c'était temporairement devenu son métier. Conscient qu'il assumait une priorité collective, il investissait pour que les entreprises deviennent autonomes pour évoluer par elles-mêmes et en relation les unes avec les autres. Que lui soit libéré et puisse se consacrer en partie ou entièrement, á sa passion pour les océans et la vie des océans. Ce sont des approches structurelles et systémiques, de passage á des mécaniques "indépendantes-interdépendantes". Toujours plus de thérapies systémiques, ouvrent les rencontres de forces, traumatismes et influences parfois distantes, créant du lien. Faire le voyage une seule fois d'exploration de forces distantes qui canalisent et font les choix pour nous, ouvre les capacités pour continuer les explorations décentrées, en autonomie. Rencontrer á quel point nous sommes automates, sculptés, créés et sans existence autonome, ouvrant les évolutions de réelle existence autonome. Presque rien, juste ouvrir une porte, une perspective, pouvant produire des déblocages systémiques en chaîne dans toutes directions. J'ai entre autre vu comme cela, des réseaux de traumatismes cultivés sur de nombreuses générations, s’effondrer. La résolution des passés, ouvrant les résolutions et ouvertures des futurs, qui ouvrent et guérissent les passés, qui... Dans une humanité qui est plus que jamais un seul système "codépendant" il y a une dimension futile et paradoxale, sans rien retirer aux réalités de "naissance" et de perte de tous les impossibles des passés. Ce sont des évolutions qui basculent de l'autre coté d'un "Mur", qui passent de "1" á "Omni". Thérapies et coordinations systémiques: La Zineke parade de Bruxelles est á l'origine un projet de sociologues, une "conspiration positive" pour décloisonner, générer du lien et des expansions relationnelles de toutes les populations et formes d'organisations. Á l'opposé de mécaniques de contrôle, c'est un outil collectif de coordination systémique, au service d'évolutions de réalités coopératives solidaires. La parade de la Zineke, dont les populations sont les auteurs et acteurs, est l'excuse pour le projet: Les deux ans de préparation et les évolutions collectives, dont les résolutions de tensions et récessions de toutes formes de problèmes, avant qu'ils puissent rêver faire surface. Aussi indiscutables que soient leurs utilités, qualités et richesses, les festivals et actions de dynamisations et coordinations collectives, restent plus et moins noyés dans des océans de dépendances et de paradoxes. Balaplay cherchait á offrir un outil complémentaire libre de paradoxes et d'évolution de ces évolutions. Balaplay en tant que projet et média, cherchait á offrir une formule et une unification universelle, une matérialisation de perceptions des réalités omni-dimensionnelles "pas de centre et que des centres". Qui est "chaque goutte est l'océan entier" en étant une technologie pour "être atteint" par des expansions relationnelles simultanées illimitées. Une interface universelle permanente. En émancipant de tous les paradoxes de consommations, d'horaires, d'objectifs et d'urgences... Apprendre á voyager sans se déplacer pour que le voyage devienne une réalité, quand et si on se déplace... L'utilité est justement d'éviter des encyclopédies universelles de tentatives de communications, qui sont paradoxales avant que le changement ait eu lieu. La démarche est identique á tous les passés et le fonctionnement viral de l'artiste. Á la différence que plus rien n'est dans "une étape de plus des évolutions". L"unification universelle sans paradoxes, ne pouvait qu'être un outil "omni", á s'approprier et á vivre.

Flûtes harmoniques de différentes tailles, formant des accords et á jouer directement dans l'espace, intégrées á du mobilier sur lequel on peut s'asseoir ou se coucher et qui fait partie de l'installation á jouer.

Des tuyaux d'orgue aériens actionnés par l'air des soufflets de Klanken Isle, qui en récupérant la pluie change la note. Le "goutte á goutte" actionne des percussions, tout en changeant la note de la flûte jusqu’à la note á vide. Encore un système ou les notes des flûtes dans l'espace, changent et se croisent, selon le réglage des clepsydres. Aussi un système qui peut actionner des instruments pendant des heures jusqu’à plusieurs jours.

J'avais plusieurs années d'expérimentations et d'expérience des potentiels des orgues de pluie et de création d'installations ou l'on se déplace dans l'orchestre. Composant les musiques en se déplaçant dans l'orchestre, ou un endroit fixe est une seule perspective et musique omni-sens et sensorielle. Les sons et musiques n'étant plus isolés de rien et l'installation est véhiucle et interface, avant d'être une finalité. (→ P: Quand les réalités sont "à l'endroit", à l'envers et à l'endroit deviennent interchangeables: "à l'endroit - à l'envers", devient "à l'endroit - à l'endroit").

La perspective unique n'est pas la réalité et chacun se déplace dans les omni "musiques". En se déplaçant beaucoup, peu ou pas, permettant de mieux vivre que ne pas se déplacer du tout, n'existe pas. Que dans le "rien" peut se trouver le "tout"... Infiniment fluide: Omni-reliefs illimité en tout et partout ?

Le clavier d'orgue á jouer et programmer:

Avec les soufflets il y avait moyen d'actionner une trentaine de flûtes, avec ou sans vannes pour changer l'orgue que les joueurs vont programmer. Sur la vue d'ensemble en couleur du dessus, le petit meuble a coté du balason est un clavier de robinets de composition des flûtes et tout ce qui est actionné par l'air.

Exactement comme le clavier du Cyclophone "Vélo d'appart", mais á programmer avant de se déplacer dans l'espace, ou en jouant á plusieurs. Une relation moins immédiate et une direction de composition libre de l'espace pour tous, ouvrait de multitudes de richesses et évolutions relationnelles. Dont des expansions de perceptions des réalités et du temps ouvertes et décentrées. Le mariage de Balaplay et Vélo d'appart formant Playtime en 2007, était continuer de développer ce projet dans la version d'expositions temporaires.

Installation temporaire ?

Déplacer des installations pour un ou quelques jours d'exposition participative, est a des paroxysmes de consommations et de paradoxes. Miss Univers (Julos Beaucarne) ? Que ça n'empêche personne de voyager avec des installations, c'est une question de priorités et de s'émanciper de réalités à l'envers, à l'opposé de toute "perte". J'ai passé ma vie à chercher ce qui manque, a tout unifier et qu'il soit possible d'avoir "tout en 1".

A l'opposé d'une œuvre et d'un outil sacré d'un auteur, une propriété privée, tout en ayant une charte qui guide plus que contrôler. La Zineke Parade interdisait les moteurs et l'amplification, pour éviter que ce soit une course à l'armement et une domination de l'argent. En détruisant toutes ses finalités et utilités individuelles et collectives. Avec un moteur la projection de plumes était résolu en 2 minutes, le "Soufflet géant" n'a posé que des challenge, produisant de multitudes de richesses et évolutions dans toutes directions. Permettant de vivre des processus, leurs richesses et de les appliquer universellement ?  

Klanken Island était une première version de Balaplay "Donne une carotte à quelqu'un et il mangera un jour, apprend lui à cultiver et il jouera de la flûte toute sa vie" :-) L'installation est vivante, se régénère continuellement et vit des "naissances" par paliers. Tous paramètres de modifications, plus la possibilité de créer des canaux et d'échanger des canaux avec d'autres installations Balaplay: Toutes uniques, vivantes avec une base-réceptacle identique-universelle d’accueil de canaux, une boite "vide". Théâtre, jeu, forum, sport, danse... Interface et école relationnelle universelle ?
 

L'orchestre relationnel des auteurs:

Tout était conçu pour que ce soit un orchestre sensoriel modulable, á composer et recomposer. Tout en étant en relation avec la nature et pour que l'identité de l'orchestre modulable. Puisse être totalement transformée par d'autres canaux, systèmes et en réorganisant l'espace.

En annexe il y avait une partie dédiée aux évolutions d'un projet géodynamique, prévoyant les échanges avec d'autres "îles et bateaux-véhicule-cinéma" régional, national, planétaire ? Sans être limité au déplacements et échanges physiques, un internet d'évolutions relationnelles. Les trouvailles des uns ne doivent pas nécessairement se déplacer sous formes de canaux à consommer et sous des formes figées. Les appropriations uniques de chacun, sont infiniment plus riches.

Ainsi qu'un projet d’appropriation et de réalisation avec les écoles et populations locales et régionales. Que ce ne soit pas "mon" œuvre, mais directement un projet collectif et des populations. Pour favoriser leurs appropriations, la composition, les connaissances et motivations pour créer leurs canaux et de nouveaux, dans les évolutions de leur œuvre. (→ La réalité des réalités ) est la "charte", la contrainte universelle dans et au service de libertés, indépendances et évolutions, illimitées.

Le projet á été rejeté par le comité de sélection "trop simpliste et enfantin" ?

Le représentant de Musica qui m'avait sollicité n'était pas d'accord, mais ne pouvait rien y faire. Par contre il était responsable du projet pédagogique et me demandait si je pouvais créer un projet dans le même esprit, sur base de "Table d'hôte musicale". Le projet "Musiscopes" qui a été réalisé pour Musica et qui a depuis été intégré au projet principal Klankenbos.

Rien pour l'omni-cinéma relationnel omni-dimensionnel à vivre et en lieu et place, nous avons des omni-expansions d'océans d'océans d'audio-visuel à consommer ?

En 2007, la version PLAYTIME aussi exposée dans le cadre du festival City Sonics, devenait plus complexe et il y avait des fenêtres, ouvrant sur un canal transparent et une vision des étages. Montrer des parties dans un ensemble que l'on vit, était plus juste et ouvrait tous les dialogues. Il y avait aussi des systèmes aquatiques, actionnant des flûtes, des instruments á bulles décentrés et des événements visuels. En plus de toutes les complémentarités, contrastes et langages avec le Cyclophone "vélo d'appart" ou le "moteur" est de l'air sous pression.

Un seul cycliste-musicien et chef d'orchestre en un point fixe, au cœur d'une architecture de tuyaux dans l'espace ou tout est décentré. Les événements sont déclenchés tout autour de nous et parfois éloignés ou invisibles, pour celui ou celle qui pédale et produit des choses pour d'autres, ou leur donne l'air et la pression pour jouer des instruments.

Pour Playtime á Besançon, Vélo d'appart et Balaplay redevenaient deux installations autonomes, pour créer deux espaces dans un parc longeant le Doubs.

Mort avant de naître: "La sélection" naturelle ???

Ways of seeing de John Berger, publié en 1972 et que j'ai découvert en 1991. Exposait que tous les reliefs identitaires pouvaient être dans des uniformisations et une direction unique, pendant des milliers d'années. Tout ce qui est hors cadre ayant peu de chance de faire surface et des "anomalies exceptionnelles" qui ont peu de chance de survie, sont assimilées, bannies ou détruites. Dans la série télévisée de la BBC du même nom, il tentait d'exposer qu'une direction d'évolutions paradoxales, changeait d'échelle et envahissait tout.

Depuis j'explore les uniformisations, comment tous les choix et reliefs identitaires, peuvent être dans une seule direction = 0% de choix pour l'intégralité des passagers. Les déterminismes systémiques: Les "courants", qui canalisent et forcent au final tout dans une direction. Une dimension de perception en plus, qui ouvrait aussi l'option d'une humanité qui s'unifie pour changer de "véhicule".

Une dimension en plus ouvrant la perspective de hiérarchies de "positif et négatif, de gagnants et perdants", dans des réalités ou il n'y a encore que des perdants. Toutes hiérarchies des passés "passés-présents-futurs", dans un 0% d'évolutions possibles. Des évolutions sans précédents d'exploration des réalités interconnectées et de déterminismes systémiques, n'arrivant pas de l'autre coté du "mur". Ou les passés devient un omni Big Crunch á contre courant de (→ La réalité des réalités ), pour Atteindre l'unification et "scission-fusion" universelle, l'entrée en phase, "La" naissance et le début des évolutions.

Observateur - Ethnologue - sociologue et analyste systémique, libre, sauvage:

Mes vies et travaux sont devenus une illustration trop parfaite de la fin du processus paradoxal de (→ La réalité) omni-sacrificielle de "tout sauf elle-même" - "tout dont elle même" (→ Matraquage systémique et violences ordinaires).

Il n'y a pas de "coupables", il y a des cumuls de freins directs et indirects, des soutiens et sollicitations qui n'ont pas lieu, un omni-chantage et toutes formes de pressions positives et négatives pour "s'adapter" et une disparition, qui a juste lieu. Se soumettre et servir la direction paradoxale et suicidaire, en voie par défaut pour tenter d'en émanciper l'humanité, ou rien ! Mes réalités et vécus étant d'abord dans une exploration universelle de mes vies d’éclaireur, de cellule spécialisée d'omni-ouvertures et de recherche d’accès aux futurs. Pour rendre les fruits aux auteurs: Tous et toute vie.

Au pays des aveugles, les borgnes tentent de communiquer que personne n'a jamais été aveugle.

Adaptation - Changement de direction:

Le changement d’échelle face á l'échec, comme dédier sa vie á la recherche contre le cancer après avoir perdu un proche. Est un qualité et un réflexe humain universel, déformé, inversé et rendu presqu'invisible par (→ La réalité). Intuitivement et naturellement, nous restons en phase avec (→ La réalité des réalités ) et une résolution universelle, simultanée á l'échelle du "Moi: l'ensemble que tout "est". Au final zéro perte et sacrifices, pour l'intégralité des réalités.

Mais que cela ne permette pas de conclure que "la guerre" est la source de l'unification scission-fusion universelle et tous travaux nés à travers moi. Tout était entier en 2004 et 2010, toutes formes de guerres n'ont fait que freiner, appauvrir et détruire: Pour l'intégralité des réalités.

Atteindre et Être atteint:

Dans le processus "Être atteint", toutes trajectoires et évolutions isolées "1", sont á l'intérieur de et en relation avec des expansions de décloisonnements, de perceptions structurelles et de fluidité. Tout devient infiniment précis, unique, cloisonné, différent et simultané, fluide, identique, interchangeable. Réalités "divisibles, divisées et indivisibles: Chaque goutte est l'océan entier". Chaque évolution "1", produit des évolutions pour tous les "1" qui produisent chacune des évolutions pour tous les "1".

"Transfert structurel" illimité: Évoluer est "d'abord" une question de "véhicule".

Le fonctionnement d'un cerveau et universel de la vie, entier en tout et partout.

Les expansions et compressions, produisent les réalités divisées et indivisibles.

"Toutes les gouttes forment l'océan" est une compression universelle en "1" (→ La réalité) "Moi = 1". Des expansions, évolutions et croissances exponentielles, à l'intérieur d'un Big Crunch d'omni compressions en "1".

"Chaque goutte est l'océan entier" est aussi une compression universelle en "1" (→ La réalité des réalités ) "Moi = Tout et 1". Toutes formes de compressions, á l'intérieur de uniquement des omni-expansions, évolutions et croissances relationnelles simultanées, illimitées.

(→ La réalité des réalités ) est l’accès universel aux "réalités", sans le filtre de (→ La réalité), incluse et qui n'a aussi plus aucunes limites (→ V).

(L → Chaque goutte est l'océan entier:

Les formes et structures sont toutes différentes et uniques. Les structures et processus fondamentaux, sont universels et omniprésents.

Tout est entier en tout et partout: La vie est "Omni - Autobiographique".

Vraiment résoudre une seule chose: C'est tout résoudre, sans limites d'échelles, espaces, temps, domaines, directions et dimensions, connues et inconnues.

Pour vraiment résoudre une seule chose: Tout doit être résolu, sans limites d'échelles, espaces, temps, domaines, directions et dimensions, connues et inconnues. )

Ouvrant des perspectives fondamentalement différentes, des réalités de la coopération solidaire universelle, en recherche de l'entrée en phase des réalités avec elles-mêmes.

Ce sont aussi les 2 processus: "Être atteint" et "Atteindre": Bouddha vit des accès ouverts á la vie (→ La réalité des réalités ), "seul ?" et avec une technologie "être atteint" la méditation. Le processus "Atteindre" n'atteint pas (→ La réalité des réalités ), en monopolisant l'humanité entière et l'intégralité des ressources, dans un processus omni-suicidaire, en voie par défaut pour s'en émanciper.

Au final tout se rejoint et l'unification universelle 1D ouvre "La" naissance.

Fin-Début:

Tout ne peut qu'être dans "une étape de plus des évolutions" et les solutions ne peuvent être qu'a l'intérieur du problème.

- SEAWIND FLOWER FISH: non produit. - CACHE Á L'EAU: non exposé-détruit. - BALAPLUIE: exposé une seule fois - détruit. - BALAPLAY: exposé 5 fois - 2 versions - détruit. - KLANKEN ISLAND: Commandé - non produit.

Pendant 5 ans de travail avec une institution régionale au service d'enfants placés et jeunes délinquants, la direction qui me donnait quasiment carte blanche, est devenu un confiance toujours plus illimitée. M'aidant á développer des pédagogies et outils basé sur l’accès, au service d'un voyage vers l'autonomie dont chacun est seul et unique centre. Devenir responsable á partir de soi-même, sans se limiter á en donner les apparences ou pour des récompenses, dont les absences de punitions. Le "moi" est "1" de l’infini∞∞∞... exposant l’infini∞∞∞... exposant l’infini∞∞∞... Du "moi" tout dépend d'une humanité qui retrouve accés á la vie et á elle-même. Á l'envers ou l'endroit, consciemment ou inconsciemment, il n'existe pas de forme de vie qui fonctionne pour "elle même", il n'existe que des formes de vie "Égoïstes et Autocentrées", qui ne vivent et fonctionnent que pour "elles mêmes". La solidarité est toujours absolue: Plus et moins á l'envers dans les passés, á l'endroit dans tous les temps. Les plus riches de tous les temps ? Tout dépend des perceptions qui créent les réalités, dans leurs contraintes et limites. (→ EVOL - VELO - LOVE ) L'émancipation de "La guerre": Basculer de la fin d'un suicide macroscopique, dans l'unification et "scission-fusion" universelle, l'entrée en phase des réalités avec elles-mêmes, l'axe de changement, la seule évolution de maturité systémique, "La" naissance et le début des évolutions (→ E á l’endroit2). L'humanité et la vie ne formant plus qu'un seul système coopératif solidaire égoïste et autocentré, au service exclusif de "lui-même: L'ensemble et toutes les parties de l'ensemble que tout "est". Zéro perte, que des omni-expansions, croissances et évolutions exponentielles simultanées, illimitées. Sans paradoxes, divisions, sacrifices, pertes, frictions, destructions, concessions, compromis, inconsciences et guerres de survie, mécaniques de contrôle et d’urgence, dépendances-codépendances, fatalités, impossibles, contraintes et limites: Pour l’intégralité des réalités. Impossible !? Passagers du déterminisme systémique de (→ La réalité  1D – la dualité – la guerre ) c’est impossible en quelconque infinité de temps. (→ E á l’endroit2), c’est inévitable à la seconde du changement de « véhicule universel », de systèmes référentiels et de déterminisme systémique. Passés et Futurs "passés-présents-futurs": 2 "filtres-cerveaux-attracteurs-géographies" universelles et omni-inclusives, (→ La réalité ) et (→ La réalité des réalités ). Ouvre des passés et futurs "passés-présents-futurs", une dimension universelle en plus qu'une seule et des perceptions, á partir desquelles (→ La réalité ) est incluse et omni-sacrificielle de "Tout dont elle même", á l’infini∞∞∞... exposant l’infini∞∞∞... exposant l’infini∞∞∞... Des passés "passés-présents-futurs", d'une humanité enfermée dans 0% d'évolutions possibles. Dans moins de "1" de l’infini∞∞∞... exposant l’infini∞∞∞... exposant l’infini∞∞∞...De "Tout". Et dans un omni Big Crunch et suicide exponentiel á contre courant de (→ la réalité des réalités ) Pour "Atteindre" l'unification et "scission-fusion" universelle, l'entrée en phase des réalités avec elles mêmes, l'axe de changement, la seule évolution de maturité systémique, "La" naissance et le début des évolutions (→ E á l’endroit2). Simultanée dans tous les temps, pour l'intégralité des réalités. Une seconde, une génération, la fin de la guerre-grossesse vers la mort-naissance. La fin d'une apnée et une fuite vers l'avant, à l'échelle du voyage entier. Pour Atteindre "La" naissance macroscopique, qui se cherche depuis plus de 13 milliards d'années à l'échelle de "nous mêmes: La vie". Le Big Crunch de formation des astres et systèmes, en expansion vers un Big Bang, serait 10 milliards d'années de régression exponentielle ? Compression en "1" réalité "nette", l'extrême opposé de "la réalité" = Inversion, passage, naissance ? Des évolutions exponentielles en référence "positive". Au terme d'évolutions exponentielles, à l'intérieur d'un Big Crunch d'omni-compressions en "1", pour atteindre "La" naissance. Serait une humanité enfermée dans 0% de conscience, objectivité et réalisme. Et 0% de choix, au terme d'évolutions de possession par (→ La réalité ) et son déterminisme systémique Une spirale infernale qui cultive simultanément toutes les morts macroscopiques possibles: Á travers l'humanité, qui a toujours été la forme de vie la plus essentielle, indispensable et irremplaçable, de la coopération solidaire universelle. La forme de vie "héros", championne et élue, interface de l'unification "scission-fusion" universelle, "La" naissance, "notre naissance". Le voyage est terminé, á l'endroit: Á l'envers. Au terme du voyage paradoxal pour "Atteindre" l'entrée en phase, elle est à une vibration de distance, rien, un passé-dépassé. Et "La" naissance, est devenue la plus impossible et absolue des mort-naissance de tous les temps. Le "Mur" des réalités et du temps n'existe pas, n'existe plus Et il est devenu plus invisible et infranchissable que jamais. (→ Le voyage de la vie vers elle même. Unification "scission-fusion" universelle. Positif et Négatif. Big Crunch - Naissance. 0% - Big Crunch - Omni expansions: "l'équité" et "l'équité". Conscience - Objectivité - Réalisme. Guerre-grossesse vers la mort-naissance. La solidarité est toujours absolue: à l'envers dans les passés, à l'endroit dans tous les temps...) L'air qui danse avec l’hippocampe flânant dans l'espace sourire de la lune enchantée Quelques (* réalités) et (* réalités des réalités): (*) Tout existe en quantités limitées “finies”. (*) Dans des réalités ou chaque partie de l’ensemble que tout “est”, est seule et unique centre de différences, potentiels, capacités et richesses, illimitées á l’infini∞∞∞... exposant l’infini∞∞∞... exposant l’infini∞∞∞... Plus on le vit et plus l’infini est omni-ouvert, hors de tous couloirs, sans cloisons, contraintes et limites. Les passés devenant une boucle fermée de passés “passés-présents-futurs”, enfermés dans moins de “1” de l’infini∞∞∞... exposant l’infini∞∞∞... exposant l’infini∞∞∞... De “Tout” pour chaque réalité, en quelconque infinités de temps d’évolutions passagères de (→ La réalité ). (*) L’être humain: Est une entité éternelle, uniquement positive et constructive, illimitée á l’infini∞∞∞... exposant l’infini∞∞∞... exposant l’infini∞∞∞... (*) Passagère, fruit, soldat, esclave et victime: Des contraintes et limites “temporaires”, les plus paradoxales, sacrificielles et absolues possibles. Pour atteindre l'entrée en phase, "La" naissance de l'ensemble et toutes les parties de l'ensemble que tout "est": Notre naissance, celle de "Tout-Toi-Moi". (*) Il y a indiscutablement des “gagnants et perdants”. (*) Dans des réalités ou il n’y a encore eu que des perdants sur l’intégralité des plans connus et inconnus: Á l’infini∞∞∞... exposant l’infini∞∞∞... exposant l’infini∞∞∞... L’entrée en phase est simultanée et tout est d'abord "entier et illimité" dans tous les temps. Les passés ne sont pas "moins" et ne sont des “passés”, que dans (→ La réalité 1D) qui n'est la limite que d'elle-même. (*) La vie, inconsciente et sans suite dans les idées, qui ne pense et fait qu’une chose á la fois. N’aurait pas pu plus mal concevoir la vie terrestre et en particulier l’être humain, pour toutes formes de déplacements, communications, interactions et coordinations de l’environnement, dont la Terre “fait partie”. (*) La vie qui n’est que sens, conscience, omni et perfection illimitée, n’aurait rien pu concevoir de plus parfait et illimité que la vie terrestre et en particulier l’être humain. Pour toutes formes de déplacements, communications, interactions et omni-coordinations illimitées: De l’environnement que tout “est”, avant d’en “faire partie”. (→ La vie est inconsciente ?) (*) Que l’on utiliserait 10% des capacités de notre cerveau est un mythe, nous utilisons notre cerveau á 100%: L'être humain est une machine limitée et connue ?! Le "Je" n'existe que si les réalités sont en une seule dimension et divisées, mon "cerveau"  est le centre de coordination abrité par la boite crânienne, de l'entité matérielle "moi, je, isolé, 1". (*) (→ La réalité) omni-sacrificielle automatisant l'humanité vers une "scission" absolue. Nous laisse ce qui est devenu le plus proche de 0% d’accès á notre cerveau et á "nous-même: la vie, la réalité" L’ensemble et toutes les parties de l’ensemble que tout “est”, avant d’en “faire partie”. En illustration pour entrevoir les niveaux auxquels (→ La réalité ) « possède » l’humanité et les niveaux d’impossible, qu’une et toute (→ réalité des réalités) soit « la réalité » ? La complainte du progrès Boris Vian. Décroissances et croissances simultanées, illimitées: Ces quelques perspectives de (→ La réalité ), incluse et "1" de l’infini∞∞∞... exposant l’infini∞∞∞... exposant l’infini∞∞∞... De (→ La réalité des réalités ). Expose comment (→ La réalité des réalités ) en véhicule-cerveau universel, produit des décroissances exponentielles, á l'intérieur de uniquement des omni-expansions, évolutions et croissances simultanées, illimitées. (→ La réalité) est en phase avec elle-même dans tous les temps, ce qui change sont les perceptions, les accès et « comment » les réalités sont en phase avec elles-mêmes. Au secours on va mourir, tout perdre et régresser pour devenir des AA primitifs tout nus !? Ce n'est pas "perdre" les technologies et réalités "Atteindre", aucune n'existerait et ne peut évoluer sans (→ La réalité des réalités ). C'est perdre la dictature de (→ La réalité ), les "dépendances", une direction unique, 0% d'existence et le suicide macroscopique... C'est perdre: L'intégralité des paradoxes, divisions, sacrifices, pertes, frictions, destructions, concessions, compromis, inconsciences et guerres de survie, mécaniques de contrôle et d’urgence, dépendances-codépendances, fatalités, impossibles, contraintes et limites: Pour l’intégralité des réalités. L'humanité qui s'émancipe d'une boucle fermée de passés "passés-présents-futurs": L'unification et "scission-fusion" universelle, "La" naissance et le début des évolutions á l'échelle universelle. L'extrême opposé d'un retour á (→ La réalité des réalités ) "floue" et primitive de nos "enfances". Qui serait une émancipation de (→ La réalité ) omni-sacrificielle et inférieure á l’infini∞∞∞... exposant l’infini∞∞∞... exposant l’infini∞∞∞... Dans un paroxysme de régression. - Le déterminisme systémique de (→ La réalité ) est auteur du processus paradoxal. L’humanité, a atteint la « fin-début » des évolutions, l’axe, l’inversion. Le début des expansions illimitées de vécus de (→ La réalité des réalités ) « Moi = Tout et 1 ». Rejoignant la vie qui n’a rien connu d’autre, l’humanité était l’interface d’une compression en « 1 » réalité « nette », l’extrême opposé de « la réalité » = Passage, naissance, entrée en phase des réalités avec elles-mêmes « divisibles, divisées et indivisibles » .  (A → Plus la conscience est entière qu'il n'y a pas "d'enjeux", plus celle qu'il n'en existe aucun autre que l'entrée en phase "La" naissance et le début des évolutions: Est illimitée. C'est la seule et unique fonction, sens et raison d'être, de tout ce qui existe et n'existe pas, de tout ce qui a lieu et n'a pas lieu, sans limites d'échelles, espaces, temps, directions et dimensions, connues et inconnues). Le sens de la vie: → Des futurs vers les passés (→ E ). La seule et unique fonction, sens et raison d'être, de tout ce qui existe et n'existe pas, de tout ce qui a lieu et n'a pas lieu, sans limites d'échelles, espaces, temps, directions et dimensions, connues et inconnues. Est: Tout ce qui a lieu et n'a pas lieu, sans limites d'échelles, espaces, temps, directions et dimensions, connues et inconnues. Dont la seule et unique fonction, sens et raison d'être: Est l'unification "scission-fusion" universelle, l'entrée en phase des réalités avec elles-mêmes, la seule évolution de maturité systémique, "La" naissance et le début des évolutions. Quand les réalités ne sont plus que "sens", elles n'ont plus besoin d'en avoir un.                                                                                                                                                                                    Bill Watterson Les futurs de (→ La réalité ) ? Après avoir achevé la Terre, le vaisseau spatial le plus parfait et illimité qui soit. Quelques hypothétiques rescapés, hypers "gagnants ?" meilleurs esclaves "élus" de (→ La réalité 1D) coloniseraient l'espace. Dans des "vaisseaux" fruit du "génie humain", pilotés par des "Intelligences Artificielles". En sirotant des réalités virtuelles, avec dans les bagages les drapeaux á planter dans de nouvelles "propriétés privées". Et quelques super bombes, pour se défendre et communiquer avec les astéroïdes, qui ne savent pas lire les écriteaux ? Les réalités et futurs de (→ La réalité des réalités ), sont dés le premier pas au delà d'un "1" de l’infini∞∞∞... exposant l’infini∞∞∞... exposant l’infini∞∞∞... En quelconques infinités de temps d'évolutions passagères de (→ La réalité ) et sont á une seconde de distance, un an ? Une seule génération qui ne vit pas le processus paradoxal de "flou" vers "net", qui efface les accès á nos perceptions naturelles et á "nous mêmes". Retrouver et devenir notre "Moi" macroscopique, en libérant, guérissant et ouvrant "Tout", sans aucunes limites. ( → Un détour au-delà de tous paroxysmes de fictions et d'utopies positivistes ultimes: La réalité) . S'émanciper de la mort pour la "Vie", devenir ce que nous sommes, á partir de ce que l'on est devenus ? Mourir - Naître.               Une micro seconde de distraction, de panne planétaire de soumission de l'humanité à (→ La réalité ) ?           (→ La réalité des réalités ) est la "menace de vie", universelle, absolue et illimitée (→ EVOL - VELO - LOVE ). Chercheurs évolutionnairement égarés